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  • : Blog de dominique Baert
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5 février 2016 5 05 /02 /février /2016 12:17
Réforme constitutionnelle : " Être juste et fort " !

Le symbole est fort : le 6 février 1934, les ligues factieuses d’extrême droite menaçaient la République. A la veille de cette date anniversaire, le Premier ministre Manuel Valls monte à la tribune de l’Assemblée, ce vendredi matin, pour défendre la République contre les menaces du terrorisme et les ennemis de la France, y compris de l’intérieur ! Député de la nation, je mesure avec gravité et responsabilité ce moment institutionnel. Dans ce combat pour la réforme et la défense de la France et des Français, je soutiens avec force le Président et le Premier ministre.

 

D’entrée, Manuel Valls le souligne : « Le but de guerre du terrorisme est de s’attaquer à nos valeurs. La menace terroriste est là, durable, hors de nos frontières mais aussi tout près de nous. Nous venons de franchir le seuil de 2 000 Français impliqués en Syrie.

 

La lutte contre cette radicalisation sera l’affaire d’une génération. Le terrorisme nous fait la guerre. 11 tentatives d’attentats ont été déjouées en 2015. La France est une cible, elle n’est pas la seule. Face à cela, la revendication des Français est de tout faire pour assurer leur protection, c’est une unité sans faille.

 

A Versailles, le Président de la République a fait un serment. Ce moment solennel de Versailles nous engage. Cet engagement du 16 novembre, c’est aussi cette réforme de la Constitution, pour « adapter notre règle de droit à la menace ».

 

L’article 1 donnera à l’état d’urgence un fondement incontestable car les deux régimes (l’article 16 et l’article 36 sur l’état de siège) ne prévoient pas la situation vécue par la France. Avec cet article, nous gravons dans le marbre le caractère exceptionnel de l’état d’urgence. Le régime juridique sera complété par une loi ordinaire. Il s’agira de créer des mesures individuelles de contrainte graduée et flexible dans le respect des droits des personnes.

 

Inscrire l’état d’urgence dans la norme suprême, c’est subordonner son application au droit.

 

Le Gouvernement déposera au Sénat le 9 février un projet de loi prolongeant l’état d’urgence. Oui, l’état d’urgence est efficace, indispensable pour la sécurité de nos concitoyens. L’état d’urgence est bien sûr provisoire ; sa prolongation jusqu’au 26 mai permet au Gouvernement le temps de prendre les mesures pour renforcer dans la durée les moyens des autorités judiciaires et administratives afin de lutter contre le terrorisme.

 

L’article 2 modifie l’article 34 de la Constitution pour préciser les conditions dans lesquelles une personne, même née française, peut être déchue de sa nationalité.

 

Nous avons besoin d’actes. Comment ceux qui rejettent nos valeurs, qui déchirent le pacte républicain, qui s’engagent dans une armée terroriste pour tuer leurs compatriotes pourraient-ils rester français ?

 

Aujourd’hui, la déchéance de nationalité est la réponse collective des Français à d’autres Français ayant choisi de porter atteinte à la vie collective de la nation !

 

Aujourd’hui, seuls ceux ayant acquis la nationalité française peuvent être déchus. Pour cette raison, le Gouvernement a souhaité inscrire dans la Constitution un principe d’égalité.

 

Cette mesure de déchéance a un objectif très concret : éloigner de notre territoire des individus dangereux avérés. Nous touchons, avec la déchéance de nationalité, à un élément essentiel de la personne : la sanction proposée est grave.

 

Le Gouvernement considère nécessaire de retenir aussi les délits. La sanction doit aussi pouvoir être individualisée au maximum.

 

Ce texte réalise l’unification juridique des régimes de déchéance de nationalité. Il délimite les infractions. Il n’y aura aucune automaticité.

 

Cette réforme constitutionnelle est un moment exceptionnel dans un contexte  lui-même exceptionnel. Toute révision de cette nature demande du temps, le temps nécessaire. Ce moment exceptionnel nous met face aux plus importantes responsabilités et la plus grande hauteur de vues. Par respect de la parole du chef de l’Etat, par respect des Français, nous devons être forts et unis. Face à la menace, face aux actes de guerre.

 

La nation doit rester cette adhésion salutaire à ce qui nous unit.

 

Nous le rappelons aujourd'hui avec la plus grande force ».

 

Il faut savoir « être juste et fort », comme le souligne après le Premier ministre, le nouveau président de la commission des lois, Dominique Raimbourg.

 

Répondant à la motion de procédure d’une partie des Verts (rejetée largement), Manuel Valls ajoute : « La nation a besoin d’être rassemblée, mais elle a aussi besoin d’être protégée ». Comme lui, je pense en effet qu’ « il faut savoir regarder la réalité en face ! ».

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26 janvier 2016 2 26 /01 /janvier /2016 22:40
Les voeux du Premier Ministre à Matignon !

Comme chaque année, le Premier Ministre Manuel Valls réunit les parlementaires de la majorité à l’Hôtel Matignon pour présenter ses vœux. J’y suis allé bien sûr, pour l’embrasser et lui renouveler les miens.

 

Entouré des présidents des groupes de la majorité (socialistes, radicaux, écologistes) de l’Assemblée et du Sénat, et de Claude Bartolone, président de l’Assemblée, Manuel Valls a mis en perspective ce début d’année :

 

« La France a été frappée pour ce qu’elle porte dans le monde. L’année 2015 restera marquée aussi par la crise des réfugiés ». Il insiste sur « le niveau de la menace terroriste : il faut être capable de répondre et de vivre avec cette menace. Tous les moyens doivent être mis en œuvre pour assurer la sécurité des Français. Le Sénat, dès le 9 février, va examiner la prolongation de l’état d’urgence. Les mesures adoptées en novembre étaient indispensables pour accélérer la lutte contre le terrorisme ».

Les voeux du Premier Ministre à Matignon !

« Mais l’urgence, c’est aussi l’emploi, la croissance ». Et de rappeler la stratégie économique de compétitivité, les premiers résultats et les nouvelles mesures annoncées par le Président de la République.

 

« 2016, c’est aussi l’Europe. Elle connaît plusieurs dangers : la dislocation, le manque de solidarité, la montée des populismes, la remise en cause du projet européen. La pérennité même de Schengen est posée.

 

La COP 21 a été un succès, et l’action de la France a été déterminante, mais il faut faire respecter cet accord et les engagements.

 

Enfin, le défi majeur est de fortifier la République, de donner des repères à nos jeunes (éducation), et d’être ferme sur ce qui fonde la République (laïcité, égalité - des territoires, accès au logement - lutte contre les discriminations).

 

L’année 2016 doit être utile : les Français veulent de la constance, de la cohérence, de la détermination. Réforme constitutionnelle, de la procédure pénale, projet de loi égalité / citoyenneté, code du travail, République numérique, droit des étrangers… sont des textes du XXIe siècle.

 

Dans les moments actuels, il est plus difficile de gouverner. Rien n’est écrit d’avance. Plus qu’un bilan, les Français vont nous demander de tracer des perspectives. Plus que jamais, nous devons être ambitieux pour ce pays incroyable qu’est la France !

 

Etre Français, c’est épouser des valeurs, une vieille histoire, mais aussi épouser le monde tel qu’il est ».

 

Le Premier Ministre a ensuite « invité à l’unité, à être déterminé, à réformer. Unité, fierté, confiance, détermination, optimisme », tels sont les vœux que Manuel Valls a adressé à sa majorité.

Les voeux du Premier Ministre à Matignon !
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26 janvier 2016 2 26 /01 /janvier /2016 17:25

La semaine dernière, l’actualité des médias a été dominée par la révision constitutionnelle et les annonces du Président de la République en faveur de l’emploi et de la formation. Cette semaine, l’Assemblée nationale poursuit son travail avec des textes de lois innovants.

 

Il en est ainsi du projet de loi pour une République numérique.

 

Ce projet de loi est unique en son genre, d’abord par la forme : il est le résultat de longs mois de concertation sur la « toile » avec les internautes. Via la plate-forme internet ouverte par le gouvernement, 21 000 citoyens ont produit près de 8 600 contributions. Un certain nombre d'entre elles ont été reprises dans différents articles du texte de loi soumis aux députés depuis mardi 19 janvier.

 

Surtout, sur le fond, ce texte vient conforter le développement de l’économie numérique, poser un cadre pour cette révolution numérique sans limites, tout en garantissant les libertés des citoyens et les droits des utilisateurs.

 

Trois maîtres mots caractérisent ce texte : liberté, protection, égalité.

 

La liberté d’abord, avec l’accélération de la diffusion au profit du plus grand nombre des données numériques et du savoir. Trente-huit ans après la loi de 1978 sur l’accès aux documents administratifs, le projet de loi consacre l’exploitation libre des données publiques ouvertes à tous - également dénommé l’open data. Il vise à exiger des administrations publiques la mise en ligne gratuite des données relevant de l’intérêt général (économique, social, environnemental,..) ou des travaux en matière de recherche. Véritable révolution juridique, cette économie du savoir s’accompagnera de pouvoirs renforcés de la commission d’accès aux documents administratifs.

 

La protection numérique, ensuite : ce sont de nouveaux droits reconnus aux internautes. Le numérique ne doit pas être une machine à produire de l’exclusion supplémentaire, mais de la solidarité et de l’accessibilité. Le projet de loi comporte ainsi des dispositions essentielles pour de nombreux Français : reconnaissance du droit des internautes à pouvoir récupérer leurs données personnelles (e-mail, photos, liste de contacts…) en cas de changement de prestataire, renforcement de la protection de la vie privée en ligne, création d’un droit à l’oubli pour chaque personne. Objectif prioritaire : la protection des mineurs et des personnes décédées.

 

De nombreuses familles se battent au quotidien pour défendre l’honneur de leurs enfants salis par des photos ou images volées ou diffusées sur internet. Elles attendent le vote avec impatience de la pénalisation de la diffusion de photos ou vidéos sexuelles d’une personne sans son consentement !

 

L’égalité enfin, avec la consécration du numérique partout et pour tous. Internet est défini comme un service de première nécessité, comme la fourniture d’eau et d’électricité. Un « droit à la connexion » est essentiel, notamment pour les plus démunis. En cas de défaut de paiement, l’accès à internet sera maintenu dans l’attente d’un accord à l’amiable entre les parties.

 

L’égalité, c’est également parachever la couverture numérique et supprimer les zones blanches encore en vigueur sur le territoire national. Plusieurs articles du projet de loi viennent clarifier le calendrier et les modalités de développement de la fibre optique, confirmer l’accélération du plan France très haut débit. C’est également le développement de nouveaux usages, comme le recommandé électronique ou le paiement par SMS.

 

Ces dispositions concrètes concernent les 34 millions de Français connectés tous les jours à Internet depuis plusieurs supports : ordinateur à domicile ou au travail, tablette, smartphone…

 

Ce projet de loi apporte donc des droits nouveaux aux citoyens, soutient la modernisation de notre économie et de nos territoires, et participe de la volonté réformatrice et démocratique nécessaire dans notre pays.

 

Voilà pourquoi ce mardi après-midi, je l’ai voté ! Je n’ai pas été le seul : pour (356), contre (1). Adopté !

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26 janvier 2016 2 26 /01 /janvier /2016 15:37
Une question parue au J.O.

Ce matin, le Journal Officiel publie la question que j'ai posée au ministre de la décentralisation et de la fonction publique sur l'anomalie statutaire identifiable à l'observation des schémas d'avancement des agents territoriaux de la catégorie C de la filière technique.

 
Pour lire l'intégralité de ma question, cliquez ici.
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19 janvier 2016 2 19 /01 /janvier /2016 13:25
Une réponse parue au J.O.

Ce matin, le Journal Officiel m'apporte la réponse à la question que j'avais posée au ministre de l'Education nationale sur le calendrier de versement de l'allocation de rentrée scolaire aux familles modestes.

 
Pour relire l'intégralité de la question et prendre connaissance de la réponse, cliquez ici.

 

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12 janvier 2016 2 12 /01 /janvier /2016 18:27
Assemblée : une réunion de groupe de clarification !

Les médias l’annonçaient, certains – y compris au PS – sans doute l’espéraient : la réunion du groupe socialiste à l’Assemblée allait être rude ! Il n’en fut rien. Comme le dit d’entrée notre président, Bruno Le Roux, « ceux qui attendent une réunion de déchirement seront déçus ». Une question agite les esprits, Bruno est très clair dans sa réponse : « Il n’y a pas plus d’abandon de valeurs que de complaisance à l’égard des terroristes ! ».

 

« La menace terroriste est très forte : c’est la réalité au moment où nous débattons ». Bruno Le Roux souligne les nombreux points d’accord entre nous :

- la nécessité de renforcer la sécurité des Français : avec la constitutionnalisation de l’état d’urgence, la simplification de la procédure pénale, le groupe socialiste est en phase avec le Gouvernement !

- le respect des engagements du Président pris devant le Congrès. Nous avons la même vision de l’unité nationale !

- si une mesure de déchéance est instituée, elle ne doit ni porter atteinte à l’égalité des Français, ni créer des apatrides ;

- la volonté partagée de maintenir l’unité nationale contre le terrorisme. Cela implique un Gouvernement ouvert aux propositions de la majorité et de l’opposition. « Le groupe socialiste est là pour aider le Président et son Gouvernement, pas pour l’entraver ».

 

Le Premier Ministre, Manuel Valls commence son intervention en résumant : « Une année terrible s’achève, une année décisive s’engage ». En témoignent le plan de mobilisation sur l’emploi - le Président va s’exprimer à ce sujet - ou le discours du Président sur la jeunesse et l’engagement, ou encore les mesures en vigueur depuis le 1er janvier en faveur du pouvoir d’achat ou de la santé des Français (prime d’activité, complémentaire santé, compte pénibilité…). Il se dit « inquiet pour la situation de l’Europe » (terrorisme, crise des réfugiés, Brexit potentiel, risque de césure entre pays du Nord et ceux du Sud...).

 

Evoquant la réforme constitutionnelle, Manuel Valls rappelle le contexte créé à partir du 13 novembre (130 morts, des centaines de blessés… Il ne faut pas oublier !) : pour le Président, pour le Premier Ministre, ce sentiment : « Tout pouvait vaciller ». D’où la forte intervention du Président au congrès !

 

Si l’unité nationale a été possible, c’est grâce à l’intervention du Président de la République et à son contenu !

 

Dès lors, la réforme constitutionnelle n’est pas une surprise. Le Président se devait de respecter les annonces faites au congrès. Le texte a été soumis au conseil d’Etat.

 

« Nous concevons l’inscription de l’Etat d’urgence comme une garantie ». Au sujet de la déchéance de nationalité, « le débat est légitime ». L’efficacité de la mesure est double : possibilité d’expulsions et charge symbolique du lien à la nation.

 

La révision constitutionnelle concerne la lutte contre les terroristes ! Il s’agit de garantir l’Etat de droit. Manuel Valls le souligne : il s'agit d'une loi constitutionnelle ; c'est à lui, Premier Ministre, de présenter la révision constitutionnelle. Et rappelle : il s’agit d’un engagement du Président d’inscrire la déchéance dans la Constitution; il n’y aura pas d’apatrides !

 

Pour ma part, je n’ai aucun état d’âme, aucune réserve : je voterai la révision constitutionnelle voulue par le Président de la République et le Premier Ministre !

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12 janvier 2016 2 12 /01 /janvier /2016 14:14
Une réponse parue au J.O.

Ce matin, le Journal Officiel m'apporte la réponse à la question que j'avais posée au ministre de l'Education nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche sur la souhaitable reconnaissance de l'année de scolarité effectuée à l'étranger par les jeunes collégiens et lycéens français dans le cadre de séjours scolaires linguistiques.

 
Pour relire l'intégralité de ma question et prendre connaissance de la réponse, cliquez ici.
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5 janvier 2016 2 05 /01 /janvier /2016 17:32
Deux questions sont parues au J.O.

Ce matin, le Journal Officiel publie la question que j'ai posée au ministre de la décentralisation et de la fonction publique sur la cohérence des échelons, de la durée dans l'échelon de début de carrière, et du régime indemnitaire des psychologues territoriaux par rapport aux puéricultrices territoriales, écart qui s'est accentué depuis le reclassement des puéricultrices territoriales par le décret 2014-923 du 18 août 2014, applicable le 1er juillet 2015.

 

Pour lire l'intégralité de ma question, cliquez ici.

 

Il publie aussi la question que j'ai posée au ministre de la décentralisation et de la fonction publique sur la problématique du manque d'attractivité des postes d'orthophonie dans la fonction publique hospitalière.

 

Pour lire l'intégralité de ma question, cliquez ici.

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17 décembre 2015 4 17 /12 /décembre /2015 14:16
Fin du marathon budgétaire !

Après la dernière réunion (matinale) de la commission des finances de l’année, l’Assemblée doit statuer en dernier ressort sur la troisième lecture du projet de loi de finances pour 2016 et du projet de loi de finances rectificative pour 2015.

 

Encadrés par la Constitution, les délais d’examen de ces lois de finances s’apparentent réellement à un marathon budgétaire : 248 heures de séance publique sur les deux textes (il faudrait y ajouter la loi de financement de la Sécurité sociale), 3 641 amendements examinés et 1 005 adoptés !

 

A la tribune, la rapporteuse générale du budget, Valérie Rabault, m’a fait l’honneur de rappeler l’adoption de mon amendement sur le passage de 75 à 74 ans du bénéfice de la demi-part d’impôt sur le revenu pour les anciens combattants. De même, sont devenus définitifs mes deux autres amendements sur le doublement de l’abattement de la valeur locative pour les impôts locaux des personnes handicapées, et sur l’abattement lofts.

 

A la LFI 2016, de nouvelles dépenses ont été ajoutées durant la navette parlementaire, pour un peu plus d’1,2 Mds € (notamment 800 M€ pour le pacte de sécurité, 200 M€ pour une baisse de 2 euros par heure travaillée pour les cotisations patronales payées par les particuliers employeurs). Elles seront compensées par une réduction de la contribution au budget européen. De même, la réduction de TVA à 5,5 % sur les protections hygiéniques féminines (50 M€) a été votée.

 

Malheureusement, ce matin, pour ces textes importants, un seul député UDI présent : aucun député Républicain (sauf le président de la commission des finances, par nécessité), ni FN (cf. photo) !

Fin du marathon budgétaire !
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8 décembre 2015 2 08 /12 /décembre /2015 13:37
Une réponse parue au J.O.

Ce matin, le Journal Officiel m'apporte la réponse à la question que j'avais posée au secrétaire d'Etat, auprès du ministre de la défense, chargé des anciens combattants et de la mémoire sur la nécessité de prendre des dispositions efficaces qui remplacent réellement l'aide différentielle aux conjoints survivants.

 

Pour lire l'intégralité de ma question et prendre connaissance de la réponse, cliquez ici.

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